Départ : Cervières (1612 m)
Longueur : 27 km
Denivelé : 1300 m
Massif : Queyras / Alpes Cottiennes
Sommets associés : Col des Peygus
Topos associés
Sortie du lundi 27 juillet 2009
Conditions terrain
Tout sec... on dirait le sud...
Compte rendu
J’avais prévu une sortie à la journée pour ce dimanche mais au réveil pas la grande forme alors on change les plans et on reste tranquille…
Mais bon la journée avance et ça démange quand même alors en route…
Départ tardif vers 17h depuis Cervières. Tout de suite la montée semble bien dure aujourd’hui, toujours pas la grande forme, avec cette drôle d’impression d’avoir une montagne à gravir ! C’est donc péniblement et avec de nombreuses pauses que j’effectue cette montée. Pourtant c’est bien connu, plus on va doucement, plus on prend du temps et plus la montée semble longue !...
Au lieu d’aller vers le col des Peygus, un peu pour éviter le portage final vue la grande forme, je me dirige directement vers le fort de la Lausette.
Là on est quand même récompensé pour les efforts avec une très jolie vue surtout avec cette lumière de fin de journée.
Une petite visite rapide dans le fort, encore un repère pour de drôles de poètes et philosophes à lire les différents messages et autres inepties sur les murs.
Pour la descente j’hésite un petit moment entre les 2 options puis opte finalement pour la plus directe qui est aussi la plus technique. Forcement tout ne passe pas sur le vélo mais elle est bien sympa quand même. Assez raide par endroit, l’adhérence est précaire due aux nombreuses pierres et il y a quelques petits passages un peu expo.
Arrivé au Laus je me dis qu’il faut juste remonter un peu alors j’enchaine avec le topo du bois du Péméant…
J’use mon pneu arrière sur la montée du col de l’Izoard et me fais fumer par un routard, grrrr…
C’est bien les vacances, la plupart des routeux qui descendent ne disent pas bonjour et je comprends pourquoi l’autre jour j’ai vu une balayeuse nettoyer la route… souillée par de multiples gels et autres cochonneries… mais non je ne suis pas aigri !!!
Je retrouve quand même le sourire lors de la descente du sentier botanique même si une souche vicieuse vient taper ma main et mon guidon essayant et réussissant de me virer du single… Je dévale un bout de talus en catastrophe, dérange des fourmis en plein boulot (le dimanche, les folles !!!!) en dérapant sur leur logis et m’arrête un peu plus loin… pas passé loin cette fois ci !