Madres en boucle Ouest-Sud, puis Camporells Vallée du Galbe, le 08.10.13 par francois

Département : Pyrénées-Orientales
Départ : Réal (1435 m)

Longueur : 50 km
Denivelé : 2200 m

Massif : Cerdagne / Capcir /Conflent
Sommets associés : Madres

Topos associés

Madres, circuit versant ouestGPX

Sentiers associés :

Col de Sansa T2GPX

Sortie du mardi 08 octobre 2013

francois

Conditions terrain

Descente Coume des Ponteils: cassant, parfois inroulable. Col de Sansa: bien lisse; Vallée du Galbe: passages T4, parfois cassants, courts passages T5 (ou plus).

Col de Sansa : Mieux que la piste mais pas majeur. Attention, la carte est fausse, le sentier démarre du Col de Sansa (balisé VTT/FFC).

Compte rendu

Iti suivi : Descente par la Coume des Ponteils; enchainement avec Camporells et descente par la vallée du Galbe

Ca faisait 10 ans que ça me trottait dans la tête, c'est fait ! Ce sommet est magique: le relief est étonnamment vigoureux pour un sommet qui apparaît bien plat vu de loin; c'est du granit et on le sent bien dans ses avant-bras ou son dos !
Ca roule bien jusque vers 2000 m, puis après un court portage, ça roulote entre 2200 m et le pt 2352 m. Ensuite, un sentier étonnement lisse traverse jusqu'au portage final (100 m). La vue est magnifique, du Carlit à la mer, bien visible, en passant par les reliefs calcaires tourmentés de l'Aude et des Corbières, et le Canigou.
Malheureusement, la descente n'est pas à la hauteur, entrecoupée d'assez longs passages inroulables (pour moi). Le passage le plus pénible se trouve entre les ponts 2131 m et 2024 m dans la Coume des Ponteils. A noter aussi, un passage délicat avec un vélo entre le sommet et le Roc Nègre (un peu de gaz). Mais le cadre est magnifique.
Du col de Sansa, je suis descendu par le sentier du col de Sansa, pas mal.
Puis comme j'avais du temps, je suis remonté à la Serre de Mauri pour descendre sur les Camporells et la vallée du Galbe par le GR du Tour du Capcir. Cette descente est vraiment belle malgré quelques courts passages difficiles (T4 ou plus). Avec l'éclairage rasant de la lumière du soir (vers 18h), c'était magique...