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Pointe de la Saume, par la crête de la mourière Départ : Ceillac (1639 m)
Longueur : 24 km
Denivelé : 1750 m
Massif : Queyras / Alpes Cottiennes
Sommets associés : Pointe de la Saume
Topos associés
Sortie du jeudi 04 août 2022
Conditions terrain
RAS
Compte rendu
Iti suivi : Montée par le Pas du Curé (en passant par les 3 lacs). Descente par la crête
La Pointe de la Saume… Après un premier passage en 2020, l’idée d’y refaire une virée me trotte dans la tête depuis un moment.
J’hésite entre la montée par la crête (comme lors de mon premier passage) ou par le Pas du Curé pour changer d’itinéraire et pouvoir boucler. Je crois me souvenir que le passage au Pas du Curé est bien hard. Par l’avoir regardé souvent d’en bas, je me souviens d’un passage bien vertical. Mais VTTour est en panne. Pas possible de relire les dernières sorties pour me faire une idée plus précise.
Ayant la trace de côté, je tente le coup…
Montée classique au lac Sainte-Anne, alternant roulage et portage. Toujours agréable d’y faire un crochet, tout comme le lac Miroir, rejoint après une rapide traversée descendante.
Ma trace me mène ensuite au Lac des Rouîtes. S’en suit une très pénible traversée hors sentier dans les pierriers pour rejoindre la trace principale sous le pas du curé. A moins de vouloir absolument voir le Lac des Rouîtes, c’est clairement à éviter. Privilégier une montée directe vers le Pas du Curé depuis le lac Miroir.
Démarre ensuite la fameuse ascension au Pas du Curé. C’est raide, mais le sentier est bien tracé et « stable ». Du coup, ça passe plutôt bien. J’arrive soulagé, pensant avoir fait le plus dur. Mais c’est en réalité après que la partie la plus violente arrive… La dernière ascension vers le sommet, par un mur de cailloux instables et de gravette (200m D+)… Une bonne vraie galère, à se casser la gueule toute les 5 minutes, avec le vélo sur le dos. Ça parait bien long, mais de toute façon pas le choix. J’arrive péniblement en haut, HS.
La suite reste (heureusement) grandiose : le sommet d’abord, vertigineux, puis la descente, d’abord sur la crête puis en sous-bois pour rejoindre Ceillac.
Un topo qui se mérite réellement, mais avec une belle récompense à la clé !
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