Départ : Bagnères de Luchon (600 m)
Longueur : 50 km
Denivelé : 2000 m
Sommets associés : Port de Vénasque
Topos associés
Sortie du lundi 28 octobre 2019
Conditions terrain
La pluie des jous précédants a rendu le terrain très adhérant versant espagnol. Tres peu de zones humides dans la descente du port de Venasque
Compte rendu
Iti suivi : Pont de Ravi > Plateau de Campsaur par l'ancienne route > contournement des Pic de Ribesaustes et du Pic de la Mounjoye par le versant espagnol > pas de l'escalette> Port de Venasque Hospice de france> Bois de Benque
Cela faisait 6 ans que je n’avais plus roulé cette grande classique. Il etait donc temps d’y retourner. Pour cette fois ce sera un départ du pont de Ravi.
L’ancienne route permet de s’échauffer tranquillement surtout qu’il fait bien frais en ce début octobre. L’arrivée sur le plateau de campsaure au soleil fait du bien.
Je décide de tester la variante par la flache de Romingau et la cabanne d’Arro. C’est plus long que la montée directe au Pas de Mounjoye versoant français, mais c’est plus joli, notamment la vue sur le Val d’Aran depuis le col de Poilaner complète celles que l’on aura par la suite. Le contournement versant espagnol du Pic de Ribesautes et du Pic de la Mounjoye est également très plaisant et se roule pour une bonne partie.
L’arrivée au pas de l’Escalette est toujours aussi somptueuse mais on voit que l’année a été très sèche, les glaciers résiduels se réduisent à plus grand chose. Je décide de manger là protégé de la bise fraiche sur le versant espagnol.
Après une bonne pause casse-croute/photos, je m’équipe pour la traversée versant espagnol qui alterne descente et petite remontée agrémentée de portage jusqu’au port de Venasque.
Sympathiques échanges avec de nombreux randonneurs croisés sur cette traversée, toujours étonnés de voir un « fada » se balader à vélo en ces hauts lieux.
Après quelques lacets à pieds dans le versant français du port de Venasque, je remonte sur le vélo et c’est parti pour cette très belle descente de près de 1000m de D-. Arrivée à l’Hospice e France, je comptais enchainer par le chemin de l’impératrice mais un panneau
indique que l’on ne peu plus rejoindre Saint Jean de Jouéau depuis le cirque de la Glère. Je n ‘ai pas osé aller voir ce qu’il en était réellement et je suis donc rentré par le bois de Benque.
Encore une fois ce fut une très belle journée en montagne.